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06/07/2014

Hors catégorie / Les regimes

catégorie horscat.jpgMesure 99

Arrêter toute forme de régime quelle qu'elle soit, est une mesure qui au delà de l'économie budgétaire que cela représente vu que la plupart des régimes exigent l'achat de produits particuliers si elles ne s’appuient pas carrément sur l'achat d'aliments en pharmacie hors de prix permet de ne pas mettre en danger sa santé inutilement. Il existe un moyen simple et bien plus efficace pour perdre mais changer ses habitudes alimentaire car le marché de régimes représente plus de 2 milliards de chiffres d'affaires annuelles en France mais tout cet argent ne sert surement pas à ce que les gens maigrissent :

Les Français se considèrent globalement en bonne santé mais sont 46% à être en surpoids ou obèses, malgré une "bonne alimentation" et des activités physiques ou sportives pratiquées régulièrement, selon un sondage réalisé pour le compte de la MGEN. L'étude s'est efforcée de cerner les habitudes de vie des Français et leurs liens avec l'obésité. Il en ressort que 76% des Français se considèrent en bonne santé, alors que 30% sont en surpoids et 16% obèses. Le pourcentage d'obèses est plus élevé chez les inactifs (20%) et chez les 50-64 ans (21%), les jeunes étant en revanche plus épargnés (seulement 9% d'obèses). On parle de surpoids pour un indice de masse corporelle (IMC calculé par un ratio entre le poids et la taille) situé entre 25 et 30 et d'obésité au dessus de 30.

(www.huffingtonpost.fr)

Voir aussi à ce sujet le documentaire disponible dans la colonne de droite "L'obésité programmée".

 

régimes,industrie alimentaire,habitudes alimentaires,produits amaigrisssants,lutte contre la vie chère,nouvelle-calédonie

(photomontage : Miriam Schwamm)

 

22/05/2014

Hors catégorie / L'indépendance affective

catégorie horscat.jpgMesure 74

Tenter de cultiver une certaine indépendance affective (sans pour autant verser dans l'anorexie affective) permet d'éviter des permanentes frustrations qu'on peut avoir tendance à compenser avec des achats compulsifs qui reviennent cher à la longue...

"On pourrait définir la dépendance affective comme le fait d'attendre que ce soit l'autre qui nous apporte le sentiment d'être aimé, d'être quelqu'un de bien. Si cela est compréhensible dans le cas d'un enfant, cela devient problématique à l'âge adulte. La solution consistant probablement à s'apporter soi-même ce regard bienveillant, notamment sur ses émotions.
Le fait d'être en dépendance affective, c'est-à-dire de donner à l'autre le pouvoir sur ses émotions, sur ses sentiments et son niveau de bien-être, met la personne dans une position délicate, et met l'autre aussi dans une position inconfortable.
Cela peut amener la personne à se sacrifier, à se nier, à délaisser ses centres d'intérêts, ses amis, sa famille, pour obtenir cet amour, cette reconnaissance.
Cela met la personne en position de souffrir.

Le profil du dépendant affectif :
Le profil-type où la dépendance affective est manifeste : la personne s'accroche, a tout le temps besoin d'être rassurée, elle occupe la position basse, elle est consciente de son besoin d’être aimée, rassurée, mais elle s’y prend peut-être mal pour arriver à ses fins. C'est un puits sans fond. On pourra la retrouver en thérapie à condition qu'elle sorte de sa position de victime et qu'elle arrête de rendre l'autre responsable de sa situation (ce qui ne signifie pas qu'il ne peut pas avoir des torts)."

(dependanceaffective.weebly.com)

05/04/2014

Hors catégorie / Les fêtes

catégorie horscat.jpgMesure 25

Cultiver l'insoumission aux convenances commerciales en vigueur pour toutes les fêtes (Paques, Noël, St. Valentin, Fête des mères, Halloween etc.) c'est cultiver la liberté tout en faisant des économies financières. Les possibilités de célébrer ces fêtes autrement, si on le souhaite sont nombreuses :

 

  • Créer un bon pour une pipe ou un cunnilingus "spécial St. Valentin" (les deux visuels libres de droits sont à télécharger pour impression dans la colonne de droite "Bons St Valentin") et le mettre en oeuvre ;
  • Prévoir un plat un peu plus simple mais bien cuisiné à Noël et profiter si on veut des promotions sur les produits "de fête" périssables dans les supermarchés à partir de début - mi janvier ;
  • A Paques, peindre des œufs durs en famille et les manger accompagné de salades etc. autour d'un déjeuner sur l'herbe ;
  • Surprendre sa mère ou grand-mère toute l'année durant avec une invitation pour voir un festival, une pièce de théâtre, une lecture, un concert (quelques uns de ces événements sont gratuits), lui cuisiner et livrer un bon plat, l'aider dans les taches devenues difficiles etc. etc., elle se passera sans souci du bouquet de fleurs ou du parfum offert chaque année à le même date ;
  • Pour Halloween, réaliser un Jack-o'-lantern et l'utiliser le lendemain pour une tarte à la citrouille ou une soupe à la citrouille.

On est parfaitement libre de faire l'amour, de faire honneur à ses croyances, de faire plaisir à sa mère, d'organiser des repas de famille et en tête-à-tête, des fêtes familiales et des bals costumés (avec thème ou non) toute l'année et au moins, concernant ces dernières, les invités devront se débrouiller pour chercher d'autres idées de déguisements (voir les créer eux-mêmes) que les sempiternels sorcières et squelettes...

 

bon cunnilungus.jpg

bon pipe.jpg

(création : Miriam Schwamm / libres de droits à téléchrager au format A4 dans la colonne de droite)

 

31/03/2014

Hors catégorie / Couple et séparation

catégorie horscat.jpgMesure 19

En amour, essayer de désémotionnaliser un peu les choses. Au lieu de jeter l'écran plat du compagnon infidèle par la fenêtre du troisième étage, au lieu de déchirer la robe couteuse de sa compagne infidèle, lui donner un délai raisonnable pour enlever ses affaires. S'il y a divorce, essayer de le mettre en œuvre d'un commun accord et sans avocats (toujours plus couteux qu'un(e) conseiller juridique par exemple), partager les biens équitablement. Partager les charges et le travail pour élever les enfants équitablement et à la mesure des capacités de chacun. A la place de devoir se faire pardonner ses éventuelles fautes et manquements mutuellement à coups de cadeaux compensatoires coûteux, parler des attentes de l'un comme de l'autre, de ses insatisfactions etc. et les gérer avec rigueur, tact et générosité. Ce n'est pas seulement moins couteux dans l'immédiat, mais aussi profitable pour chacun à long terme, financièrement et moralement.