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22/06/2014

Le partage / Partager les cartes client

catégorie partage.jpgMesure 87

Dans la mesure du possible et des occasions qui s'offrent, partager les cartes de fidélité !

Au supermarché, si on a oublié la sienne, proposer le crédit ou les "points" dus à l'achat qu'on est en train d'effectuer au client précédent ou suivant, pour les artisans, partager sa carte "pro" avec l'ami bricoleur occasionnel, de manière à ce qu'il puisse profiter de la remise.

Cette mesure n'apporte rien à celui qui partage au premier abord, mais il est certain que les sociétés et distributeurs de la place ont ajouté suffisamment de marges au prix de vente final qu'ils n'ont pas besoin de garder ce surplus de bénéfice.

Aujourd'hui, quelques supermarchés ont d'ores déjà donné l'ordre à leurs caissiers et caissières de ne pas accepter qu'un client puisse donner le bénéfice de ses points au client suivant... Sous quel prétexte, on se le demande bien, en tout cas, je doute fort qu'il y ait une base légale qui justifierait ces ordres. Et une chose est sûre, tant que c'est possible, cette petite mesure de lutte contre la vie chère, même si c'est pour le coup au bénéfice de quelqu'un d'autre devrait se poursuivre, dans l'intérêt de tous.

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19/06/2014

Les produits / Cancérigènes

catégorie produits.jpgMesure 85

S’il y a aujourd’hui de quoi se méfier de tout ce qu’on mange, certains aliments et boissons se révèlent très cancérigènes. Sans verser dans la paranoïa à tout instant et sans que ce soit une garantie absolu de bonne santé, le pense-bête suivant permet de garder en tête les grandes lignes qui permettent de sauvegarder la robustesse de l'organisme et donc au maximum de se passer des dépenses liés à la maladie...

Voici la liste des dix aliments qu'on ne devrait jamais manger ou du moins en réduire la consommation :

1. Les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM) :

Ce n’est pas une surprise : les OGM sont mauvais pour la santé. Ils sont présents dans la plupart des dérivés alimentaires à base de maïs conventionnel, de soja, de riz ou de colza. Préférez donc les produits purement naturels produits sans la biotechnologie.

2. Les viandes transformées :

Les charcuteries, bacon, saucisses et autres hot-dogs contiennent des conservateurs chimiques qui les font paraître fraîche plus longtemps, mais ils peuvent aussi causer le cancer. Le nitrite de sodium et le nitrate de sodium ont été liés à augmenter de manière significative le risque de cancer du côlon et d’autres formes de cancer. Autant porter son choix sur les produits à base de viande non durcie et sans nitrates.

3. Les pop-corn au micro-ondes :

Ils sont bourrés de produits chimiques qui peuvent provoquer l’infertilité, mais aussi le cancer du foie, des testicules et du pancréas. Préparez donc vous même vos pop-corn à l’ancienne, cela vaut mieux.

4. Les boissons gazeuses :

Les sodas sont connus pour leur côté rafraîchissant, mais aussi de leurs méfaits sur la santé. Bourrées de sucre, de produits chimiques alimentaires et de colorants, ces boissons acidifient le corps et nourrissent les cellules cancéreuses.

5. Les aliments et boissons diététiques :

Pire que les sodas traditionnels : les produits diététiques sont chargés d’aspartame qui peut causer une série de maladies, dont des anomalies congénitales et le cancer. À éviter donc.

6. Les farines blanches raffinées :

C’est un ingrédient courant dans les aliments transformés, mais sa teneur excessive en glucides pose problème. «  La consommation régulière de glucides raffinés a été liée à une augmentation de 220 pour cent dans le cancer du sein chez les femmes  ».

7. Les sucres raffinés :

«  Les sucres raffinés ont tendance à augmenter rapidement les niveaux d’insuline et nourrir la croissance des cellules cancéreuses  ».

8. Les fruits conventionnels :

Pommes, raisins, fraises... pourraient être un risque majeur de cancer, à moins qu’ils soient bio ou vérifiés comme dépourvus de pesticides. L’Environmental Working Group (EWG) a constaté que jusqu’à 98 pour cent de tous les produits conventionnels, et en particulier le type trouvé sur sa liste de fruits « sale », sont contaminés par les pesticides cancérigènes.

9. Le saumon d’élevage :

Le saumon d’élevage ne ​​manque pas seulement de la vitamine D, mais il est souvent contaminée par des produits chimiques cancérigènes, les BPC (biphényles polychlorés), les retardateurs de flamme, des pesticides et des antibiotiques.

10. Les huiles hydrogénées :

Couramment utilisées pour conserver les aliments transformés, elle modifient la structure et la flexibilité des membranes cellulaires dans l’organisme, ce qui peut conduire à un grand nombre de maladies débilitantes comme le cancer.

(www.swagactu.com via www.inform'Action.info)

 

moi cocagne.jpg

(Miriam Schwamm, Le pays de Cocagne, installation, 2004, pour Art & Nature au Centre d'Art)

 

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27/05/2014

Au supermarché / Les produits importés

catégorie supermarché.jpgMesure 76

Ce n'est pas une mesure qui favorise la production locale précisément, mais il est un fait que les pâtes notamment sont souvent bien meilleures quand elles sont produites en Italie, mais cette mesure vaut aussi pour les autres produits importés de longue conservation, les lentilles vertes, le riz complet, les farines complètes etc.

Tout d'abord, vérifier l'état général de l'emballage pour s'assurer que le produit vient d'arriver dans le pays depuis peu et qu'il n'est pas infesté par des insectes :

  • absence d'une couche de poussière, car cela veut dire qu'il est stocké depuis longtemps dans les réserves ;
  • absence de petits trous dans l'emballage, car cela veut dire qu'il a été attaqué par de charançons ;
  • absence de toiles-filaments blanchâtres, car cela veut dire que des insectes ont établi leur logis dans le produit (farine notamment) ;
  • absence de poudres et de crottes, quand l'emballage a une partie transparente, secouer l'emballage avec cette partie-là vers le bas ;
  • une date DLUO la plus longue possible, ne pas hésiter de fouiller dans les étagères les produits placés au fond, souvent ils rangent les produits les plus anciens à l'avant pour qu'ils partent en premier.

Quand tous les tests se sont avérés positifs, ne pas hésiter à faire du stock, utiliser des grandes boites en tôle (genre pour le panettone) au mieux ou en plastique s'il faut pour éviter toute contamination par les souris et les charançons à la maison, mais ainsi on a des produits de qualité qui ne sont souvent pas plus chères avec une qualité supérieure.

21/05/2014

Au supermarché / Les étiquettes "promo"

catégorie supermarché.jpgMesure 72

Faire une lecture détaillée de ce qui est affichée dans la barre à glissière sous les étagères avec les produits peut être bénéfique pour le porte-monnaie : Les grandes étiquettes "promo" avec leur prix (d'ailleurs en général on n'y trouve plus le prix ramené au kilo ou au litre) sont souvent superposés aux étiquettes "normales" : Quand on l'enlève, on s'aperçoit parfois que l'ancien prix est absolument identique. (C'est mieux de remettre ensuite l'étiquette "promo" en place quand même).

Quand on vérifié ce produit en promotion au premier coup d’œil, mais point après vérification, on s'aperçoit le plus souvent que c'est un produit avec une date (DLC ou DLUO) assez rapproché... un hasard ?

Je ne saurais le dire, en tout cas, tant que les grandes surfaces ne consentent pas à faire à coup sur des vraies promotions sur des produits se rapprochant de la date... il ne faut mieux pas l'acheter, pour ne pas entretenir ces procédés commerciaux...

A contrario et quand un supermarché fait des vraies rabais de prix sur des produits "limites", il n'y a aucun mal à en profiter et gérer leur consommation dans un délai approprié ensuite.

 

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(Thierry Mangin, artiste plasticien, "Good morning NCK !!! La chose s'engage !", photographie de l'album sur sa page facebook)

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09/04/2014

Les enfants / La publicité

catégorie enfants.jpgMesure 46

Les enfants, surtout en bas age, sont très manipulables par toutes les méthodes de séduction que l'industrie, les marques et les distributeurs s'ingénient à inventer et à mettre en œuvre :

La publicité avec...

  • des affiches ;
  • des spots télévisés ;
  • la publicité cachée avec le sponsoring de films, d’événements sportifs ;
  • la production de produits dérivés, de personnages, de jeux et quiz ;
  • etc.

Au supermarché avec...

  • les produits présentés à hauteur de leurs yeux ;
  • les sucreries et bibelots aux sorties des caisses ;
  • les étales garnis de peluches, de ballons ;
  • la diffusion de parfums ;
  • etc.

Il n'y a malheureusement pas beaucoup de possibilités de les en extraire complètement et donc d'éviter une perpétuelle négociation affin de ne pas devoir acheter tout les temps des choses qui ne servent à rien, à part à vider le porte-monnaie des parents.

Pour le supermarché, le meilleur moyen et le plus simple reste de ne pas tout le temps les amener quand on fait les courses, de toute façon, ce ne sont pas eux qui doivent guider la composition des menus familiaux. Les habituer le moins possible à la nourriture industrielle (restauration rapide, barres chocolatées, boissons sucrées etc.) est un autre. Quand ils sont un peu plus grands, les sensibiliser au problème. Refuser catégoriquement de dépenser sans cesse pour le dernier jeu vidéo ou la nouvelle console, le vêtement à la mode, les nouvelles céréales fantaisie est possible quoique éreintant.

Mais au moins cela aura le mérite de ne pas avoir fait des enfants "gâtés" et donc des adultes dépendants.

(voir à ce sujet le documentaire "The cooperation" disponible dans la colonne de droite)

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08/04/2014

Les produits / Bruts au possible

catégorie produits.jpgMesure 37

Privilégier les produits les plus bruts possibles :

Légumes entières et en vrac, au mieux au marché et mis dans un cabas ou panier de courses, sinon ils mettent tout, même les citrouilles dans des pochons en plastique, les volailles entières,  c'est toujours moins cher et plus frais que les morceaux prédécoupés (voir mesure sur la remballe au supermarché) et on peut facilement les découper et préparer les divers morceaux de manière différente (la carcasse en bouillon ou soupe par exemple), poissons du lagon entiers, juste vidés etc.

Toute transformation effectué par le marchand / distributeur (épluchage, découpage, précuisson etc.) a un cout et le sur-emballage (en barquettes plastique, sous vide etc.) qui en résulte également et ce coût sera en tous les cas répercuté avec un bénéfice sur le prix de vente au consommateur final.

 

volailles, légumes, poissons, lutte contre la vie chère, marché, nouvelle-calédonie

(photomontage : Miriam Schwamm avec un schéma de etrangerecuisine.canalblog)