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27/06/2014

Au jardin / La surface utile

catégorie jardin.jpgMesure 89

Augmenter la surface utile du jardin, même si ce n'est qu'un petit carré, avec buissons et fleurs mellifères pour attirer les insectes utiles, garnir les murs et palissades de plantes grimpantes comestibles (pomme-liane, margose, chouchoute), les talus de plantes rampantes comme les citrouilles. Installer un potager (en trou de serrure de petite envergure ou dans des jarres s'il faut et selon la surface totale, voir fichier à télécharger dans la colonne de droite : "keyhole gardens"). Planter au moins un arbre fruitier, si le jardin est très petit se contenter d'un papayer qui en plus aime la proximité d'un mur qui l'abritera du vent, sinon les arbres de taille moyenne comme les pêchers ou goyaviers, les citronniers et kumquats qui peuvent être taillés régulièrement ce qui réduira un peu leur envergure, mais réserver l'installation d'un manguier ou d'un letchi à un jardin avec une bonne surface. Les herbes aromatiques, herbes médicinales, comme le persil à feuilles plates, le romarin, la citronnelle, la mélisse sont généreuses et ont une longévité et une rusticité supérieure au basilic à grandes feuilles ou au persil chinois. Les petits feuillus comme la roquette, le pissenlit etc. demandent peu de place et apporteront toujours un peu de variété aux salades un peu fades des marchés et supermarchés.

Un jardin qui n'est pas seulement une surface engazonné produira de la nourriture et sera un lieu ou s'épanouiront abeilles, papillons et oiseaux qui l'embelliront par ailleurs.

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26/06/2014

Les enfants / Les vêtements des adolescents

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Les adolescents accordent beaucoup d'importance à la mode et aux marques de vêtements et d’accessoires, leurs habits deviennent une seconde peau qui marque l'appartenance à une classe, constitue un cocon sécurisant et permet l'affirmation d'un semblant de caractère qui est en réalité en devenir. Malgré cette importance réelle, il ne faut pas céder à toutes leurs caprices, souvent très onéreux, car les marques savent justement très bien vendre une image attirante aux yeux des adolescents, un fonds de commerce bien plus juteux que l'attention à la durabilité du vêtement, sa qualité ou encore le partie pris moral concernant les conditions de sa fabrication par ailleurs.

Essayer de sensibiliser l'ado aux dépenses que cela engendre, le faire participer à des achats concernant sa propre garde-robe avec l'argent de poche qu'il aura gagné en faisant des petits travaux à la maison, aller dans les friperies et valoriser l'originalité et la qualité d'un vêtement, et au moins, leur apprendre à entretenir leurs vêtements, voir à les repriser ou les customiser pour qu'ils durent plus longtemps permet d’atténuer un peu la pression face à la permanente demande pour de nouveaux vêtements. Rester serein face aux énoncés du genre "je n'ai plus rien à me mettre" souvent largement exagérés en se disant que leur personnalité, ils devront de toute façon se la construire et ce n'est pas un semblant de facilité avec des habits "dernier cri" qui y changera quelque-chose...

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22/06/2014

Le partage / Partager les cartes client

catégorie partage.jpgMesure 87

Dans la mesure du possible et des occasions qui s'offrent, partager les cartes de fidélité !

Au supermarché, si on a oublié la sienne, proposer le crédit ou les "points" dus à l'achat qu'on est en train d'effectuer au client précédent ou suivant, pour les artisans, partager sa carte "pro" avec l'ami bricoleur occasionnel, de manière à ce qu'il puisse profiter de la remise.

Cette mesure n'apporte rien à celui qui partage au premier abord, mais il est certain que les sociétés et distributeurs de la place ont ajouté suffisamment de marges au prix de vente final qu'ils n'ont pas besoin de garder ce surplus de bénéfice.

Aujourd'hui, quelques supermarchés ont d'ores déjà donné l'ordre à leurs caissiers et caissières de ne pas accepter qu'un client puisse donner le bénéfice de ses points au client suivant... Sous quel prétexte, on se le demande bien, en tout cas, je doute fort qu'il y ait une base légale qui justifierait ces ordres. Et une chose est sûre, tant que c'est possible, cette petite mesure de lutte contre la vie chère, même si c'est pour le coup au bénéfice de quelqu'un d'autre devrait se poursuivre, dans l'intérêt de tous.

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19/06/2014

Les objets / Les livres à la bibliothèque

catégorie objets.jpgMesure 86

La bibliothèque ou la médiathèque, ce sont des lieux gratuits et accueillants. Avec un abonnement annuel pour une somme modique on peut y lire les journaux, magasines et livres et les emprunter, emprunter des CD's et DVD's...

La bibliothèque reste le lieu de la démocratisation de la connaissance et du divertissement par excellence et il est à espérer que la bibliothèque Bernheim et toutes les bibliothèques et médiathèques de Nouvelle-Calédonie pourront bénéficier à l'avenir du soutien sans faille de la part des institutions !

Petit historique...

"Les premières bibliothèques

Étant donné les changements culturels apparus depuis l'invention de l'écriture, il est difficile d'assigner une origine précise au concept de bibliothèque publique. Il existe depuis l'antiquité des archives, des collections de manuscrits privées, et des collections semi publiques, accessibles à une minorité de lettrés comme la mythique bibliothèque d'Alexandrie. Les premiers lieux de lecture publique décentralisés sont peut-être les thermes publics grecs et romains, avec des pièces réservées où les visiteurs peuvent librement consulter des manuscrits, ainsi la bibliothèque des Thermes de Caracalla.

Au Moyen-Orient et en Afrique du nord existent également dès le 9e siècle des "maisons de la science" gérées par des communautés religieuses islamiques. Ces centres sont ouverts au public. Certains pratiquent le prêt, mais dans des conditions très restrictives. La plupart des visiteurs sont censés consulter les ouvrages sur place.

À partir du moment où sont fondées les premières universités européennes, elles possèdent des bibliothèques qui ne sont ouvertes qu'aux membres de l'université.

Les bibliothèques publiques en France, origines

Le concept de bibliothèque publique est d'origine anglo-saxonne (public library). Il est importé en France au début du 20e siècle par Eugène Morel, qui parlait à l'époque de librairie publique. Si la quasi-totalité des bibliothèques publiques françaises sont des services dépendants de collectivités territoriales, il existe dans le monde anglo-saxon et au Québec des bibliothèques publiques financées par des fondations privées. Avant cela, Claude Sallier (1685-1761), bibliothécaire du roi, avait eu une idée avancée pour l’époque : mettre la culture à la portée de tous. De 1737 à 1750, il fit parvenir à la ville de Saulieu des caisses de livres qui constituèrent ainsi « la première bibliothèque publique » de France."

(wikipédia)

 

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(la bibliothèque Bernheim à Nouméa)

 

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Les produits / Cancérigènes

catégorie produits.jpgMesure 85

S’il y a aujourd’hui de quoi se méfier de tout ce qu’on mange, certains aliments et boissons se révèlent très cancérigènes. Sans verser dans la paranoïa à tout instant et sans que ce soit une garantie absolu de bonne santé, le pense-bête suivant permet de garder en tête les grandes lignes qui permettent de sauvegarder la robustesse de l'organisme et donc au maximum de se passer des dépenses liés à la maladie...

Voici la liste des dix aliments qu'on ne devrait jamais manger ou du moins en réduire la consommation :

1. Les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM) :

Ce n’est pas une surprise : les OGM sont mauvais pour la santé. Ils sont présents dans la plupart des dérivés alimentaires à base de maïs conventionnel, de soja, de riz ou de colza. Préférez donc les produits purement naturels produits sans la biotechnologie.

2. Les viandes transformées :

Les charcuteries, bacon, saucisses et autres hot-dogs contiennent des conservateurs chimiques qui les font paraître fraîche plus longtemps, mais ils peuvent aussi causer le cancer. Le nitrite de sodium et le nitrate de sodium ont été liés à augmenter de manière significative le risque de cancer du côlon et d’autres formes de cancer. Autant porter son choix sur les produits à base de viande non durcie et sans nitrates.

3. Les pop-corn au micro-ondes :

Ils sont bourrés de produits chimiques qui peuvent provoquer l’infertilité, mais aussi le cancer du foie, des testicules et du pancréas. Préparez donc vous même vos pop-corn à l’ancienne, cela vaut mieux.

4. Les boissons gazeuses :

Les sodas sont connus pour leur côté rafraîchissant, mais aussi de leurs méfaits sur la santé. Bourrées de sucre, de produits chimiques alimentaires et de colorants, ces boissons acidifient le corps et nourrissent les cellules cancéreuses.

5. Les aliments et boissons diététiques :

Pire que les sodas traditionnels : les produits diététiques sont chargés d’aspartame qui peut causer une série de maladies, dont des anomalies congénitales et le cancer. À éviter donc.

6. Les farines blanches raffinées :

C’est un ingrédient courant dans les aliments transformés, mais sa teneur excessive en glucides pose problème. «  La consommation régulière de glucides raffinés a été liée à une augmentation de 220 pour cent dans le cancer du sein chez les femmes  ».

7. Les sucres raffinés :

«  Les sucres raffinés ont tendance à augmenter rapidement les niveaux d’insuline et nourrir la croissance des cellules cancéreuses  ».

8. Les fruits conventionnels :

Pommes, raisins, fraises... pourraient être un risque majeur de cancer, à moins qu’ils soient bio ou vérifiés comme dépourvus de pesticides. L’Environmental Working Group (EWG) a constaté que jusqu’à 98 pour cent de tous les produits conventionnels, et en particulier le type trouvé sur sa liste de fruits « sale », sont contaminés par les pesticides cancérigènes.

9. Le saumon d’élevage :

Le saumon d’élevage ne ​​manque pas seulement de la vitamine D, mais il est souvent contaminée par des produits chimiques cancérigènes, les BPC (biphényles polychlorés), les retardateurs de flamme, des pesticides et des antibiotiques.

10. Les huiles hydrogénées :

Couramment utilisées pour conserver les aliments transformés, elle modifient la structure et la flexibilité des membranes cellulaires dans l’organisme, ce qui peut conduire à un grand nombre de maladies débilitantes comme le cancer.

(www.swagactu.com via www.inform'Action.info)

 

moi cocagne.jpg

(Miriam Schwamm, Le pays de Cocagne, installation, 2004, pour Art & Nature au Centre d'Art)

 

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18/06/2014

La paperasse / Les assurances voiture

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Peut-être il serait judicieux d'inclure dans le liste des mesures gouvernementales de lutte contre la vie chère le gèle des prix des assurances automobiles... Car pour celles et ceux dont il s'agit d'une première assurance, une assurance "jeune conducteur" donc sans bonus forcément, les compagnies de la place proposent des prix autour de 150 mille francs avec en plus l'obligation d'un contrôle technique, outre une multitude de papiers à fournir. Ceci permettrait de s'assurer qu'au moins un maximum de gens circulent en règle. Mais à la vue de la quantité importante d'accidents en Nouvelle-Calédonie, ceci ne pourra se faire sans doute qu'avec une condition suspensive couplée avec une majoration en cas d'accident pendant les premières années (et peut-être en augmentant justement en contre-partie grandement la durée de cette période du "jeune conducteur")... ce pourrait être une mesure incitant les conducteurs, même moins jeunes à plus de respect du code de la route.

En tout cas, ça vaut le coup de voir les courtiers d'assurances et toutes les compagnies de la place pour comparer leurs offres avant de la souscrire et ça vaut le coup également de se contenter d'une petite cylindré pour commencer à conduire afin de réduire le prix de l'assurance au maximum.

Quelques infos, qui ne s'appliquent probablement pas tous ici, en Nouvelle-Calédonie :

"Qu’est-ce qu’un jeune conducteur ?

Les statistiques ne sont pas favorables aux jeunes conducteurs âgés de 18 à 24 ans. Selon celles-ci, ils provoqueraient plus d’accidents que les plus de 30 ans. C’est pourquoi le prix de l'assurance jeune conducteur est plus élevé.
Pour revenir à la définition, est considéré comme jeune conducteur ou comme novice :

  • celui qui a le permis depuis moins de 3 ans ;

ou celui qui a eu le permis depuis plus de 3 ans mais qui n'a pas été assuré durant les 3 ans qui précèdent le début du nouveau contrat. Les jeunes conducteurs devront s’assurer au prix fort. C’est la règle de la surprime : ils paient 100 % de la cotisation de base la première année, 50 % la deuxième et 25 % la troisième. Elle s’applique à ceux qui assurent leur propre véhicule et aux parents qui ajoutent leur enfant  à leur contrat d'assurance. Bon à savoir : certains assureurs imposent une puissance réelle du véhicule à ne pas dépasser… par prudence ! Pour choisir son assurance jeune conducteur, suivre ces deux conseils :

  • sélectionner une assurance en fonction de son budget et faire attention à la franchise ;
  • si on utilise le véhicule de ses parents, s'inscrire sur leur contrat d'assurance : la facture à l’arrivée sera moins lourde. Une fois qu'on aura acquis une expérience de la conduite et assuré un véhicule en son nom propre, l’assurance sera moins coûteuse, surtout si on reste chez le même assureur.

Les jeunes conductrices sont avantagées ! En effet, selon les statistiques, elles provoquent moins d’accidents. Les assureurs sont donc plus cléments à leur égard en proposant des conditions financières plus intéressantes.
Les assureurs font aussi les yeux doux aux  jeunes ayant bénéficié de la conduite accompagnée (à partir de 16 ans). Si c’est le cas, on bénéficie d’une décote sur le montant de sa cotisation à l'assurance voiture jeune conducteur. La loi a alors plafonné la surprime à 50 % la première année, à 25 % la seconde et à 12,5 % la troisième."

(www.multicity.citroen.fr)

(Mesure proposée par Ingrid)